Apprentissage, territorialisation, fibre entrepreneuriale, évolution de la pédagogie… Marc Sellam, Président-Directeur Général et Fondateur du Groupe IONIS, avait accordé un grand entretien au magazine ÉcoRéseau Business dans son numéro d’octobre 2024.
Consacré à l’histoire et à l’avenir du Groupe, ce portrait riche en enseignements est désormais accessible en ligne et en intégralité. En voici un extrait.
Il est à la tête du plus grand groupe d’enseignement supérieur privé français. Débrouillard et passionné par l’univers de l’éducation, Marc Sellam a fondé le Groupe IONIS en 1980. Lui l’ingénieur, formé sur les bancs de l’ESME Sudria (depuis renommée ESME), a voulu commencer par fonder une école… de commerce ! « C’était le plus facile, les formations tertiaires ne nécessitent pas de laboratoires par exemple », illustre l’entrepreneur. Après l’ISEG (désormais ISEGCOM), 27 écoles et entités suivront au fil des décennies, et de plus en plus au sein des territoires. ISG, EPITA, IPSA… voilà des noms qui vous parlent sans doute, tous ces établissements appartiennent à la galaxie IONIS. Certaines ont été créées de toutes pièces, d’autres ont été reprises et redressées. Quoi de plus beau que d’entreprendre dans un secteur qui construit les nouvelles générations, les décideurs de demain ? Évidemment tout n’a pas été simple pour Marc Sellam et ses équipes, qui ont vu leurs écoles associées moult fois à des boîtes à fric. « Il a fallu combattre cela », concède le Président-Directeur Général du Groupe IONIS, qui rappelle que l’avenir des étudiants prime sur tout le reste. Des lieux de vie plutôt que de simples campus où l’on vient chercher un diplôme, voilà l’objectif des écoles de commerce et d’ingénieurs, entre autres, qui composent le groupe. Et surtout, et c’est un facteur clé de succès : l’innovation. « Aucun projet pédagogique ne doit rester figé […] Tous nos programmes évoluent et s’adaptent aux impératifs de l’époque », insiste Marc Sellam, conscient par ailleurs que les jeunes générations ne travaillent plus ni n’apprennent de la même manière que leurs aînés. (…)
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